allons prendre l’air: les idées de week end loin du train-train quotidien | legroom - girl

 allons prendre l’air: les idées de week end loin du train-train quotidien | legroom - girl legroom - girl un blog utilisant wordpress accueil a propos dernières news people madonna, un prochaine album en marsmena suvari topless pour vanity fairugly betty, vidéo promo de l’episode 2.05 dernières news tech votre avatar second life directement commandé par votre cerveaules 10 voitures les plus rapides au mondeune immense couverture de led à la surface de l’eau allons prendre l’air: les idées de week end loin du train-train quotidien 13 09 2007 paris, le romantisme à la française: manifs place de la bastille, débats sur les 35 heures, tentes au bord du canal saint martin… rien ne ternit l’image romantique de la capitale. de tokyo à tombouctou, paris et sa tour eiffel s’élèvent au climax du fantasme amoureux. tant de rencontres scellées au fil des siècles, tant d’écrivains et cinéastes venus s’abreuver de sa beauté et de sa vigueur intellectuelle. que reste-t-il aujourd’hui de ces anciennes amours ? derrière le rideau du grand music-hall s’illumine le visage du paris cocon et authentique. celui des petites adresses oubliées, des écrins de raffinement, des havres de paix où souffle le « vent de l’éventuel », si cher aux surréalistes et à leur penchant pour l’insolite. loin, très loin de la chambre d’hôtel uniformisée, une myriade de petits hôtels aux atmosphères insolites a poussé dans paris. du minuscule palace des mille et une nuits aux délicieuses lubies d’un refuge de quartier, trois escales délirantes pour caprices d’une nuit. dans les règles de l’art pas de portier, pas de spa, ni de bagagiste à l’hôtel amour, mais le personnel est vêtu en a.p.c., des magazines érotiques, des romans et des vêtements mode sont à disposition dans votre chambre. règle numéro 1 : autant de décors que d’habitations (il y en a vingt). règle numéro 2 : du mobilier vintage uniquement (lampes seventies, banquettes en moleskine, chaises signées jean prouvé ou charlotte perriand). règle numéro 3 : des cartes blanches offertes à des artistes. une chambre est signée marc newson, d’autres m/m (paris), andré, sophie calle… imaginée par trois compères de la nuit parisienne (andré, thierry costes et emmanuel delavenne), cette escale incarne un trip à la blow up. le choix est rude entre le cocon rose girly, le microcosmos entièrement recouvert de papier peint illustré en noir et blanc, ou l’antre gothique chic aux murs laqués de noir, parterre à faisceaux lumineux et plafond recouvert de boules disco. 150 ou 190 € la chambre double. hôtel amour, 8, rue de navarin, 75009 paris. tél. : 01 48 78 31 80. gothique À deux pas de la place stravinsky et de sa fontaine où barbotent joyeusement les nanas de niki de saint-phalle, vous dormirez dans un décor moyenâgeux, entourés de pierre, de poutres en bois et de fer forgé ; et parfois même des contreforts de l’église attenante au-dessus de vos têtes ! c’est le cas de la chambre 9 de l’hôtel saint-merry, hautement conseillée pour un sulfureux voyage au temps des cathédrales : deux bras de piliers en pierre traversent littéralement la pièce. aménagé dans l’ancien presbytère de l’église saint-merry, cet hôtel gothique pur jus est très prisé des couples en lune de miel et des photographes de mode du monde entier. du glamour bénit, pittoresque et totalement décalé. on laisse la chasuble au vestiaire, mais de sympathiques « ding dong » continuent à rythmer le séjour. À partir de 160 euros la chambre double. hôtel saint-merry, 78, rue de la verrerie, 75004 paris. tél. : 01 42 78 14 15. www.hotelmarais.com couture du volume ! des étoffes chatoyantes ! des effets ! conçu comme une collection de mode, l’hôtel du petit moulin ne disparaîtra pas aussi vite qu’un défilé couture. l’enseigne d’époque annonce une boulangerie. mais cet immeuble du xviie siècle abrite un « rêve d’enfant laissé en route », selon les termes du créateur christian lacroix, qui a signé la décoration de ce refuge intimiste au centre du marais. motifs cinétiques et rococo, fleurs et rayures, béton brut et papiers peints cohabitent dans un univers théâtral, où chaque chambre rivalise de beauté pour obtenir le premier rôle. À partir de 180 € la chambre double. hôtel du petit moulin, 29-31, rue de poitou, 75003 paris. tél. : 01 42 74 10 10. www.hoteldupetitmoulin.com la grande révolution parisienne des années 2000 a eu lieu dans nos assiettes. toute une nouvelle génération de chefs réinvente avec panache l’art de recevoir. À paris, quatre repaires de charme racontent leur version du mot « cosy ». hors du temps oui, victor hugo venait avec son petit-fils à l’heure du goûter dans le salon de la fontaine. d’accord, le tout-paris du 19e siècle est passé par ici. mais ce n’est pas pour zola, maupassant ou dumas que l’on s’offre lapérouse. ni pour sa vue exceptionnelle sur la seine. on y va pour emprunter ses couloirs sombres et dîner dans de confortables petits salons particuliers. conçus en 1723 pour attirer une clientèle de négociants (le commerce s’y faisait en toute discrétion), ces espaces privés se sont rapidement transformés en rendez-vous d’affaires… nettement plus intimes ! les belles courtisanes laissaient d’ailleurs la trace de leur passage en rayant les miroirs avec leurs diamants pour en vérifier l’authenticité. la cuisine servie dans ce décor fait de peintures d’époque, tentures chatoyantes et divans de velours est savoureuse. les serveurs ont un tas d’anecdotes à raconter, mais n’entrent pas tant que vous ne les avez pas sonnés. l’adresse coquine par excellence. restaurant lapérouse, 51, quai des grands-augustins, 75006 paris. tél. : 01 43 26 68 04. confidentiel on a envie de frapper avant d’entrer. mais d’abord, on vérifie le numéro de la rue. c’est bien là pourtant. derrière la porte en bois de cette ancienne bijouterie, un minuscule restaurant de cinq tables seulement. elio est originaire de naples, mais pioche dans toutes les spécialités régionales de la péninsule pour offrir une succulente cuisine familiale italienne à base de produits bio. même la carte des vins est écologiquement correcte. au menu : burrata de mozzarella et jambon de parme, linguine à la truffe, salade de poulpe au fenouil, potage de scarole et haricots blancs, raviolis aux pousses de navet… la musique ? classique ou italienne. autant dire que l’on est littéralement transportés dans un voyage culinaire hors du temps. une adresse rare et insoupçonnée. environ 50 € à la carte. ouvertures du week-end : samedi soir, dimanche midi et soir, lundi midi. cibus, 5, rue molière, 75001 paris. tél. : 01 42 61 50 19. sensuel chef dans un monde d’hommes, flora mikula (seconde chez alain passard à l’âge de 24ans) s’est fait plaisir en concevant un restaurant-boudoir à son image. elle y sert une gastronomie généreuse et sensuelle aux subtils accords méditerranéens, nordiques et asiatiques qui titille les papilles. le décor, entre le baroque et les années 50 (papier peint stylisé, rideaux de perles en métal, lustres à pampilles, banquettes de velours), est planté au cœur du fameux triangle d’or parisien. chez flora, il y a juste ce qu’il faut de rose, de noir et de mauve, sans overdose de coquetterie, pour butiner gaiement en amoureux des tapas de la mer, du foie gras « dans tous ses états » ou des spaghettis « de la belle et le clochard ». menu à 34 €. environ 70 € à la carte. ouvertures du week-end : samedi soir. les saveurs de flora, 36, avenue george-v, 75008 paris. tél. : 01 40 70 10 49. www.lessaveursdeflora.com rare madonna, lors de son dernier tour parisien, est venue chercher calme et raffinement dans cet écrin préservé au fin fond du 9e arrondissement. vu la taille du lieu (un généreux 20 m2), on peut dire que les autres clients ont dîné ce soir-là avec la star, dans le refuge poétique à souhait de jean-luc andré. chez pétrelle, dans ce coin d’appartement décroché du reste du monde, on se régale « entre amis » d’une excellente cuisine du marché, confectionnée à base de produits de saison par le très inspiré maître des lieux. les tables (cinq tout au plus) sont recouvertes d’épaisses nappes blanches sur lesquelles on a disposé au hasard une pile de livres, des bouquets de fleurs, un chandelier. un charme fou. ouvert le soir uniquement. pétrelle, 34, rue pétrelle, 75009 paris. tél. : 01 42 82 11 02. À noter : dans la journée, l’épicerie fine les vivres (28, rue pétrelle), « petite sœur » et extension du restaurant, sert de fantastiques brunchs les samedis et dimanches. la nuit tombée, on évite les adresses trop mode, trop design, trop grandes… pour se blottir confortablement dans des lieux bien cachés. mythique qu’a fait ernest hemingway, le 25 août 1944 ? voilà une bonne question à suggérer d’urgence à l’équipe du trivial pursuit. il a « libéré » le ritz, bien sûr ! l’écrivain et correspondant de guerre américain aurait déboulé place vendôme, en jeep, une mitraillette sous le bras, avant de commander une tournée générale. plus de six décennies plus tard, son buste en bronze trône toujours sur le bar à cocktails de l’illustre palace parisien, que l’on a baptisé de son nom. boiseries et fauteuils en cuir, photos d’autres héros de la littérature (de beauvoir, proust, joyce, capote…), le bar mythique a conservé son décor d’origine. c’est ici que l’on créa le bloody mary, spécialement pour… ernest hemingway, ou le ritz side car, le cocktail le plus cher du monde. dernière invention, déjà légendaire : le cognac aux truffes. À vous de jouer. ouvert du lundi au samedi de 18 h 30 à 2 h. bar hemingway, hôtel ritz, 15, place vendôme, 75001 paris. tél. : 01 43 16 33 65. et aussi : des cours de cocktails, tous les samedis de 15 h à 16 h 30. 100 € le cours. réservations au 01 43 16 30 50. muséal son nom, puisé dans le vocabulaire de l’art des jardins, évoque la frontière invisible entre intérieur et extérieur. la nuit tombée, quand le musée ferme ses portes, le premier étage du saut du loup se transforme en un restaurant-bar de nuit cosy. le paris classique et contemporain se rencontre alors ici, à deux pas du louvre, dans un décor en noir et blanc imaginé par philippe boisselier. sobriété et lignes épurées laissent la parole à cette vue imprenable sur les jardins du carrousel, d’un côté, et sur l’intérieur du musée des arts décoratifs, de l’autre. Éclairés à la bougie, on s’installe sur des banquettes noires ou au bar pour siroter des cocktails rétros maison aux doux noms de rose, golden cadillac ou mint julep. la tour eiffel scintille dans des miroirs installés à des points stratégiques. c’était le dernier verre. ouvert de 12 h à 2 h. le saut du loup, 107, rue de rivoli, 75001 paris. tél. : 01 42 25 49 55. jazzy parmi les incontournables de la nuit parisienne, le club de jazz figure en haut lieu de tous les possibles. au sunset/sunside, repaire de la rue des lombards ouvert en 1983, l’ambiance est chaude et les sessions durent parfois jusqu’au petit matin. au sunside (temple de l’acoustique) comme au sunset (plutôt dédié à l’électronique), les passionnés y croisent les non-initiés venus flairer au hasard de la nuit la véritable ambiance d’un club de jazz. on y apprend à écouter, et à ouvrir la bouche seulement durant les intermèdes. parfois, dans un moment de grâce, un pianiste inconnu et une tête d’affiche du saxophone s’envolent dans une explosion d’allégresse, comme ça, sous nos yeux. À l’abri des regards, dans cette cave voûtée, avec son amoureux, il ne peut plus rien nous arriver. ouvert 7 jours sur 7. sunset/sunside, 60, rue des lombards, 75001 paris. tél. : 01 40 26 46 60. www.sunset-sunside.com À noter en février : le 7 : third world love quartet et keren ann. le 10 : steve shehan en duo avec reza derakshani. du 22 au 24 : sylvain luc « joko » quintet + guests. exotique in the mood for love ? direction le fumoir du china club, un classique qui tend à se faire oublier tant il est discret. planté à quelques mètres de la coulée verte de l’avenue daumesnil, dans le 12e arrondissement, ce bar feutré est l’un des plus exotiques de la capitale. au rez-de-chaussée, la majestueuse salle de restaurant, avec ses murs laqués rouges et son sol en damier noir et blanc. À l’étage, le fumoir. on y monte par un large escalier. parfois, la voix de maria callas se fait entendre depuis le long couloir très colonial qui mène à ce havre de paix. canapés chesterfield, cheminée, lumières tamisées, bibliothèque-écritoire… une ode à la rêverie qui nous transporte dans la chine des années 30, sans l’opium. après deux ou trois verres, on se téléporte au sous-sol pour un concert endiablé de funk, soul ou world music. ouvert tous les soirs. china club, 50, rue de charenton, 75012 paris. tél. : 0 826 10 11 59. www.chinaclub.cc marseille, l’accent et le caractère du sud  on dit que le marseillais est fier et paresseux, dangereux au volant, mafieux en affaires et hostile à l’égard de toute espèce résidant au nord, c’est-à-dire au-delà de valence… ces légendes ont été mises au point par les phocéens – la communauté de marins grecs qui a fondé marseille 2 600 ans avant j.-c. – afin de préserver la ville des invasions. les clichés ont la vie dure. sous son ciel bleu klein, la cité phocéenne a toujours fait figure d’éternelle rebelle. elle échappera au contrôle de louis xiv, qui en retour fera ériger le fort saint-nicolas et son enfilade de canons dirigés vers la ville. elle donnera son nom à l’hymne de rouget de lisle, scandé par les révolutionnaires. la deuxième ville de france offre bien des surprises : sur plus de 60 km de côte, ses quartiers aux ambiances bigarrées s’étirent comme autant de petits villages pittoresques à la croisée de l’orient et de l’occident. À mille lieues de la clinquante côte d’azur, le dépaysement est total. l’authentique côtoie l’avant-garde, le bout du monde est à portée de main. dix ans après le timide démarrage d’euroméditerranée, projet urbain ambitieux visant à valoriser les atouts de la deuxième ville de france, marseille se donne enfin les moyens de ses objectifs : devenir un pôle économique incontournable du bassin méditerranéen, au côté de sa grande sœur espagnole, barcelone. luxe précurseur tous les chemins mènent au vieux-port. ce petit centre du monde abrite des dizaines de bars et de restaurants ainsi que le théâtre national de marseille, la criée. c’est désormais ici que niche le plus luxueux hôtel de marseille, inauguré en mai dernier. membre de the rezidor hotel group, le radisson sas hôtel marseille vieux-port était attendu comme le messie. la cité phocéenne se dote enfin d’un quatre étoiles digne de ce nom, avec service sur mesure et équipements dernier cri : 189 chambres, dont 6 suites et 6 junior suites, 11 salles de réunion, deux restaurants, une piscine et un solarium sur les toits de la ville. pari réussi côté déco : les espaces high-tech et contemporains se marient parfaitement à l’atmosphère cosy et détendue d’esprit néoprovençal et africain. radisson sas hôtel marseille vieux-port, 38-40, quai de rive-neuve, 13007. tél. : 04 91 54 02 01. www.marseille.radissonsas.com e-mail : info.marseille@radissonsas.com nouveau concept le colette local est arrivé ! qu’ont en commun la célèbre boutique parisienne et oogie, un concept-store de 400 m2 fraîchement installé cours julien ? ils rassemblent en un seul lieu la crème de la tendance, tous univers confondus : musique, vêtements, accessoires, presse… mais la comparaison s’arrête là. la nouvelle planète fashion oogie, qui abrite aussi un bar, un restaurant et un salon de coiffure, s’impose plutôt comme un lieu de rencontres alternatif et festif. oogie, 55, cours julien, 13006. tél. : 04 91 53 10 70. www.oogie.eu hôtel de la hype une fois franchie l’entrée design surmontée d’une enseigne lumineuse rose fluo, un petit jardin provençal vient chatouiller nos sens : lavande, romarin, menthe et fenouil. quelques marches et nous voilà au frais dans l’enceinte cocon du pharo, le dernier-né des new hotel, une chaîne 100 % marseillaise tenue par les frères antoun. immense lustre baroque en cristal, sol noir, incrustations de galets, fontaine conceptuelle, œuvres contemporaines disséminées dans toutes les pièces… la centaine de chambres au confort impeccable (dont 8 suites avec terrasse) donnent sur la piscine et le bar-terrasse du victor café, le restaurant de l’hôtel et la nouvelle adresse hype fréquentée par le tout-marseille. new hotel pharo, 71, bd charles-livon, 13007. tél. : 04 91 31 53 15. www.newhotelofmarseille.com sans pour autant être rayés de la carte, la bouillabaisse et les pieds et paquets ont été remplacés par une nouvelle cuisine marseillaise, où de jeunes chefs rivalisent d’inventivité et d’énergie. si l’on ne peut pas en dire autant de toute la côte méditerranéenne, on mange divinement bien à marseille. gastronomie grand style monsieur passédat, le père, vous accueille dans ce petit paradis dont son fils gérald a désormais la clé. vous êtes au petit nice passédat, une villa blanche accrochée à son rocher en course pour une troisième étoile au michelin. décor french riviera de la belle Époque, piscine d’eau de mer et panorama exceptionnel. le tapis rouge est dressé dès les mises en bouche pour accueillir un feu d’artifice de saveurs et de couleurs. thon rouge de méditerranée servi dans une écume de mer avec une rigueur très japonaise. couteau en gelée accompagné de sa feuille d’estragon. carpaccio de maquereau, jeunes pousses et mousse de tomate verte. les desserts éclatent en bouche sur un air de fête foraine. menu à 65 € à l’heure du déjeuner. le soir : menus à 125, 145 et 180 €. carte : environ 160 €. petit nice passédat, anse de maldormé, corniche john-fitzgerald-kennedy, 13007. tél. : 04 91 59 25 92. www.passedat.com table d’auteur christian ernst a ouvert sa petite table gastronomique alors qu’il venait à peine de souffler ses 25 bougies. jugez donc : duo de sardines grillées et confites sur une plancha de supions, jus à la réglisse et son gaspacho glacé de petits pois ; composition de cabri aux artichauts confits et raviole à la brousse du rove… le patron vous le dit : « on est là depuis dix ans car on joue la carte de la sincérité. » au charles livon, pas d’emballage cadeau : on s’y déplace pour la carte inspirée, pas pour la vue sur la mer – d’ailleurs, il n’y en a pas, le cadre raffiné se prêtant plus volontiers à une soirée d’arrière-saison en amoureux. et en dessert ? cannelloni croustillant aux poires laquées au miel et son sorbet… bon voyage ! carte : environ 30 €. menus à 39 et 55 €. menu dégustation à 68 €. le midi : menu du marché à 19 €. le charles livon, 89, bd charles-livon, 13007. tél. : 04 91 52 22 41. www.charleslivon.fr fermé le dimanche. tapas créatives les akolytes est l’un des tout derniers restaurants de tapas à découvrir sans faute ! brochette de porc marinée à l’indienne, encornet farci à la brousse, saumon confit et sa faisselle, ou fumé avec jeunes pousses d’épinards et basilic… xavier chalmin, tout juste sorti de l’école, a concocté avec ses deux associés, cécile et jérémy, un concept de « petits plats que l’on partage » dans une déco orange et blanche, pop, mode et épurée, face à la mer. ticket moyen : environ 25 €. les akolytes, 41, rue papety, 13007. tél. : 04 91 59 17 10. fermé mercredi et dimanche. cuisine radieuse on y va une première fois pour voir la cité radieuse, cette unité d’habitation conçue par le corbusier dans les années 50. on y revient pour la convivialité du ventre de l’architecte, un restaurant réaménagé avec goût dans l’esprit du maître (lampes corbu, chaises rétro, tables de style charlotte perriand), mais aussi désormais pour la carte semi-gastronomique de jérémy bigou. ce jeune chef passionné, qui a fait ses armes au passedat petit nice et au clos de la violette, a la soif d’innover. et il le fait avec grand art et beaucoup de générosité. et pour passer une nuit 100 % « radieuse », demandez aux patrons (qui tiennent aussi l’hôtel le corbusier, www.hotellecorbusier.com) s’il leur reste une chambre… le ventre de l’architecte, 3e rue de la cité radieuse, 280, bd michelet, 13008. tél. : 04 91 16 78 23. ouvert midi et soir, sauf samedi midi et dimanche. mistral, mer et soleil : le trio inéluctable. hissez les voiles et partez à la découverte de la rade, des îles et des calanques. en route pour marseille côté mer. prendre le large À bâbord, le vallon des auffes, la corniche, malmousque, les goudes et les calanques, jusqu’à cassis. À tribord, la joliette et ses docks (en pleine réhabilitation avec le projet euroméditerranée), l’estaque, la redonne. en face, l’archipel du frioul (tiboulen, ratonneau, pomègues et if) abritant une flore et une faune exceptionnelles. les différentes balades en mer : - À bord d’un vieux gréement (6 personnes maximum, de juillet à septembre, 36 €). - en bateau à moteur (de 7 à 120 passagers). - en kayak de mer (de juin à octobre, 35 € la demi-journée, 55 € la journée). renseignements : office du tourisme, 4, la canebière, 13001. tél. : 04 91 13 89 00. e-mail : info@marseille-tourisme.com - À bord d’un chalutier datant de 1950 (12 personnes maximum). icard maritime/marseille côté mer, tél. : 04 91 33 03 29. www.marseille-cote-mer.com - location de bateaux et activités sportives et nautiques (parachute ascensionnel, catamaran, ski nautique, plongée, bouées tractées, jet-ski). natrium, tél. : 04 91 33 95 33. e-mail : infos@natrium.frpanel - navettes en direction des îles : embarcadère du vieux-port, 1, quai de la fraternité, 13001. tél. : 04 91 55 50 09. (traversée : 20 min). déjeuner dans les calanques longez la côte en direction des calanques, ces falaises de calcaire abruptes plongeant dans l’eau turquoise que la mer pénètre par endroit pour former de charmantes criques protégées des vents. le massif se découvre aussi à pied, mais ses chemins balisés bordés de buissons de myrte et de thym, de chênes verts et de figuiers de barbarie sont fermés au public de juin à septembre, pour éviter les incendies. ces « fjords » méditerranéens ont des noms bien d’ici : sormiou, morgiou, sugiton. les calanques abritent un village de pêcheurs et, parfois, un restaurant. pour manger du poisson frais tout juste pêché et grillé sans chichi, ce bout du monde est ouvert en fonction de la pêche. le tiboulen de maïre, la calanque blanche, route des goudes, 13008. tél. : 04 91 25 26 30. une guinguette saisonnière située après l’estaque. poisson grillé et crustacés. le mange tout, calanque du grand-méjean, 8, chemin tire-cul, 13820 ensuès-la-redonne. tél. : 04 42 45 91 68. dîner aux premières loges pas envie de toucher terre après une longue virée en mer ? direction les trois forts pour un dîner flottant. le restaurant gastronomique du sofitel marseille vieux-port, idéalement situé entre le palais du pharo, le fort saint-jean et la forteresse saint-nicolas, jouit d’une vue exceptionnelle sur la mer, le port et la vieille ville. c’est une croisière méditerranéenne jonchée de délicieuses surprises, du consommé glacé de petits pois à la menthe à la crème glacée au lait de brebis et son coulis de fruits, que nous concocte le très sympathique dominique frérard. aux étages inférieurs, les chambres du sofitel, récemment réaménagées façon cabines chic de paquebot, avec hublots et bois noble verni, vous attendent pour embarquer. menus entre 40 et 80 €. les trois forts, hôtel sofitel marseille vieux-port, 4e étage. 36, bd charles-livon, 13007. tél. : 04 91 15 59 00. barcelone et la fiesta espagnol  on y allait pour son quartier baroque, son paseo sur les ramblas, pour dire bonjour à picasso ou pour la folie des rondeurs de gaudí. aujourd’hui, on s’y presse pour la créativité bouillonnante de sa gastronomie, qui, à l’image de la capitale de la catalogne, a su élever son particularisme au rang d’art. pas moins de vingt établissements spécialisés en poissons et fruits de mer, une douzaine de restaurants français, plus de quarante italiens… le catalan passe des tapas à la haute cuisine avec une étonnante décontraction. mais qu’elle soit « d’auteur », « du marché », « créative », « fusion » ou « méditerranéenne », la cuisine barcelonaise répond toujours à un seul critère : l’extrême fraîcheur de ses produits. l’offre hôtelière est à l’image de cette jeune capitale en pleine explosion : éclectique et stylée. voici quatre adresses de charme où se détendre après une folle journée de fooding. grand hotel central déjà l’œuvre d’un architecte en 1924, ce subtil et élégant espace a conservé sa patine d’origine lorsqu’il a été repensé, il y a un an, par oriol tintoré. construit autour d’un patio, il marie modernisme et contemporain. véritable paradis coupé du monde avec piscine sans bords sur les toits, la terrasse vaut le détour. son restaurant, l’actual, est l’une des meilleures tables de barcelone (réservations au 93 295 79 05). aux fourneaux : ramón freixa, du célèbre racó d’en freixa étoilé au michelin en 1988. vía laietana, 30. tél. : 93 295 79 00. www.grandhotelcentral.com chambres à partir de 216 €. réservations restaurant : 93 295 79 05. hotel omm À deux pas de la pedrera de gaudí, dans le quartier de l’eixample, l’omm a été conçu comme un espace ouvert sur la ville. les fenêtres semblent s’effeuiller comme les pages d’un livre ; depuis les chambres, on peut voir sans être vu. le confortable bar lounge de l’hôtel et son superbe spa invitent à la pause, tout comme le restaurant moo, très couru des barcelonais, dont l’assiette est à l’image du lieu : séduisante et high-tech. c/rosselló, 265. tél. : 93 445 40 00. www.hotelomm.es chambres à partir de 295 €. neri hotel & restaurante pierre brute, taffetas de soie, teintes délicates, subtil mélange d’ancien et de contemporain… niché dans les ruelles du quartier gothique, ce petit palais du xviiie siècle donne sur une charmante placette, qui sert tour à tour de cour d’école et de terrasse pour les clients de l’hôtel. ici, tout le charme réside dans cette sensation d’extrême isolement mêlée à l’impression vivace que la ville nous tend les bras. le soir, le solarium sur les toits se transforme en minilounge glamour. sensualité assurée. c/sant sever, 5. tél. : 93 304 06 55. www.hotelneri.com chambres à partir de 287 €. hotel casa camper se sentir chez soi, loin de chez soi ? c’est ainsi que casa camper conçoit le luxe d’avant-garde, dénué de fioritures et de prétention. ici, design « utile » et concept malin tournent autour des notions de confort et de légèreté : salle de bains végétale et futuriste, chambre épurée à la literie remarquable, salon particulier séparé donnant sur la rue animée pour sentir le pouls de barcelone. en guise de minibar, le lobby propose un espace ouvert où chacun peut se restaurer à son aise 24 h/24, gratuitement. c/elisabets, 11. tél. : 93 342 62 80. wwwcasacamper.com chambres à partir de 185 €. que ce soit sur le pouce, au cœur de l’effervescence d’un marché couvert, dans une salle à manger « tradi » aux murs tapissés d’_azulejos_, dans une cantine design au milieu des beautiful people ou encore au comptoir d’un bistrot populaire, voici quelques pistes pour se régaler de produits ultra-frais et superbement cuisinés. vinya-roel on vient d’abord ici pour acheter d’excellents crus des quatre coins du monde. dans l’arrière-boutique, un restaurant conçu autour d’une immense cave à vins réfrigérée, vitrée et futuriste. les spécialités catalanes se dégustent accompagnées d’un vin vendu au prix de la vinothèque, donc deux fois moins cher qu’ailleurs. succulents, les cannellonis barcelonais (farcis à base de porc et foies de volaille), le fideus (petites pâtes fines) à la casserole ou le riz noir (à l’encre de seiche). une adresse confidentielle, méconnue des touristes. c/villarroel, 190-192. tél. : 93 430 72 79. www.vinya-roel.com casa leopoldo devenu incontournable, cet établissement familial, ouvert en 1929, a su conserver l’âme secrète du raval, quartier populaire longtemps laissé à l’abandon. aux murs, des photos et dédicaces d’écrivains, poètes et musiciens, des azulejos aux motifs de tauromachie. dans l’assiette, des plats traditionnels catalans qui font la part belle aux poissons. hautement conseillés : les albóndigas (boulettes de viande) aux champignons et gambas et les œufs brouillés aux asperges, ail et crevettes. une expérience culinaire unique. c/sant rafael, 24. tél. : 93 441 30 14. botafumeiro les meilleurs mariscos de la ville ! 10 sur 10 pour ce restaurant gastronomique au service impeccable. poissons, coquillages et crustacés sont les rois de la carte depuis trente ans. aux antipodes de la nouvelle cuisine, les créations du galicien moncho ont pour maîtres mots simplicité et extrême fraîcheur. avant de passer à table, on peut se mettre en appétit « a la barra », l’une des plus alléchantes (et des plus chères) de barcelone, en commandant des spécialités comme les concombres de mer à l’huile d’olive ou la salade de langouste à l’huile de truffe. gran de gràcia, 81. tél. : 93 218 42 30. cuines santa-caterina À l’intérieur du très joli marché santa-caterina, récemment coiffé d’une élégante toiture colorée aux formes organiques, cette excellente cantine-restaurant au design brut (cagettes, pin massif et ardoise) englobe quatre propositions inventives sur la base d’une cuisine du marché : petit déjeuner/ tapas le matin, puis, jusqu’à minuit, modules méditerranéen, végétarien et asiatique. excellent rapport qualité-prix. parfait pour s’imprégner de l’ambiance du marché, ce concept inspiré ne pouvait surgir que dans barcelone la cosmopolite. av. de francesc cambó, 20. tél. : 93 268 99 18. noti comme son nom l’indique, cette adresse abritait les anciens locaux du noticiero universal, un quotidien local du soir. c’est sans doute ce qui donne un petit côté intello à ce restaurant glamour et son bar à cocktails, tenu par un français et prisé d’une clientèle hype. Évocatrice d’un luxe années 50, la déco marie délicieusement formica rose, verre noir, cuivre et velours rouge dans une atmosphère très cinématographique. cuisine sophistiquée, moderne et créative de grande qualité. c/roger de llúria, 35-37 tél. : 93 342 66 73. bar mundial une adresse authentique et populaire du born. le « dueño », francisco tort moya, tient fièrement les rênes de ce chaleureux petit restaurant à tapas acheté par son grand-père en 1918. les initiés n’hésitent pas à faire la queue dans la rue pour commander la fameuse parrillada (plateau varié de crustacés grillés). À 15 h 30, le rideau de fer s’abaisse et les lumières se tamisent sous le brouhaha des conversations familiales. juste le temps de se lécher les doigts et de finir le dernier pan con tomate de l’assiette. plaça sant agustí vell, 1. tél. : 93 319 90 56. andorre, la magnifique  le citadin que nous sommes aura fait un grand pas lorsqu’il aura cessé de croire que l’on se rend encore en andorre pour y faire seulement du shopping. en hiver, lorsque ce petit pays niché dans les montagnes se drape d’un manteau uniformément blanc, seuls les clochers, disséminés dans les sept paroisses de la principauté, ont droit de cité. c’est ici que s’étend le plus vaste domaine skiable des pyrénées. c’est là que viennent les randonneurs chevronnés ou les adeptes de spa pour se ressourcer. dans ces vallées perdues à deux heures de route de toulouse et de barcelone, on commence une phrase en catalan (la langue officielle) et on la termine en français ou en castillan. la majorité de la population n’est pas andorrane, mais espagnole, portugaise ou française. et sur les pistes, le personnel est argentin – ce qui s’avère fort agréable. ajoutons à ce melting-pot un nombre non négligeable d’anglais et de russes, le dépaysement est total. récit d’une reconversion. À mille lieues de l’image cliché d’andorre-la-vieille et de son tourisme de masse en virée shopping, on succombe au charme du berceau de l’eau. ici, c’est une tradition. la plupart des hôtels ont un centre thermal intégré. même les plus basiques d’entre eux disposent au moins d’un sauna. idéal pour se détendre après le ski. sport wellness mountain spa un caprice de bien-être sur 4 500 m2. ce superbe spa de cinq étages est spécialisé en hydrothérapie, balnéothérapie et programmes thérapeutiques innovants. avec le circuit d’eau, on alterne tonification et détente en passant de la piscine à 32 °c – avec baignoires d’hydrothérapie extérieures – à la piscine à 36 °c avant de plonger dans un bassin à 12 °c – ça réveille ! les sportifs attaqueront les zones de natation à contre-courant. les autres se prélasseront dans l’une des quatre vasques de jacuzzi avec vue imprenable sur la montagne. côté soins : musicothérapie, cabine d’essences naturelles, lits chauds, enveloppements corporels, massages du monde… une pause luxe et volupté pour seulement 35 euros les 3 heures. ctra. general, soldeu. tél. : 376 870 550. centre thermoludique caldea riche en soufre, l’eau est une ressource naturelle aux propriétés bienfaisantes dont les andorrans ne se privent pas. on trouve d’ailleurs des espaces de bien-être à peu près dans tous les hôtels, les plus intéressants étant ceux du roc blanc, les thermes de l’hotel carlemany ou de l’hotel princesa parc. mais c’est caldea, le plus grand centre thermoludique d’europe, qui se distingue par son concept ambitieux et ses 6 000 m2 de cascades, jacuzzi, lits à bulles, bains indo-romain, japonais, aztèque et marbres chauds… parc de la mola, 10, escaldes-engordany. tél. : 376 800 999. entrée adulte : 29,50 euros les 3 h. enfants : 22 euros. réservation conseillée. règle numéro un : se laisser aller aux délices du cru. rappelons que nous sommes en catalogne (ou presque). la gastronomie andorrane étant un mélange de cuisine montagnarde, méditerranéenne et du sud-ouest… on ferme les yeux, on salive et on savoure, sans sourciller. molí dels fanals pour une ambiance chaleureuse et familiale, c’est l’une des meilleures adresses d’andorre. poulet paysan aux langoustines, pied de cochon aux champignons, confit de canard, filet de bœuf à la broche… À la croisée des cuisines traditionnelles andorrane, française et catalane, dolores, qui a publié deux livres culinaires, tient d’une main de chef cette ancienne borda (bergerie reconvertie en restaurant). sispony, la massana. tél. : 376 835 380. www.molidelsfanals.com el rusc très bonne table typique d’andorre. sa carte gastronomique est composée de spécialités basques et de cuisine de marché. des créations inspirées signées du chef pablo urcelay, qui propose un menu de dégustation de quatre plats et deux desserts. ctra. d’arinsal, la massana. tél. : 376 838 200. www.elrusc.com aquarius succulente carte concoctée par christian zanchetta, une étoile au michelin, qui rend un heureux hommage aux saveurs de tous les suds. inspirations croisées pour ce français du sud-ouest qui travaille la truffe comme personne. une expérience mémorable avec vue sur le plus grand spa de la principauté. centre thermoludique caldea, parc de la mola, 10, escaldes-engordany. tél. : 376 800 980. casa canut architecture de bois, aquariums d’eau salée remplis de crustacés… on vogue à plus de 1 000 m d’altitude entre une gastronomie spécialisée dans le poisson et les fruits de mer (barcelone n’est pas loin) et des recettes du terroir, comme le foie frais de canard poêlé au vin de porto. av. carlemany, 107, escaldes-engordany. tél. : 376 739 900. www.hotelcanut.com parfois luxueuse, toujours confortable, chaleureuse et soignée, l’hôtellerie reste cependant assez classique. réplique du chalet de montagne, la décoration locale ne démord pas de la pierre grise et du bois. mais si cette architecture d’altitude un peu vieillotte peut donner le vertige, il suffit de se plonger dans le premier jacuzzi qui nous tend les bras pour se rassurer. on ne dénichera pas l’avant-garde dans ce bastion reclus des pyrénées… et c’est justement ça qui nous enchante. hotel grau roig cet hôtel au pied des pistes est tenu par un charmant jeune couple. ici, la tranquillité est absolue : pas d’habitation ni de village alentour, juste le départ d’une télécabine pour rejoindre le grand domaine skiable de grandvalira. bien au chaud à l’intérieur, on contemple la nature immaculée par la fenêtre, depuis une baignoire à remous ou un bac de bois à l’ancienne conçu pour deux personnes. acoustique high-tech pour écouter de la musique dans toutes les pièces, jusque dans la douche. et si l’envie vous prend de déguster un vieux rioja, il suffit de demander au propriétaire, sommelier réputé, de vous ouvrir sa cave et de vous conter des histoires de vin. À partir de 140 euros. station de ski grau roig. tél. : 376 755 55. www.hotelgrauroig.com sport hotels resorts & spa déjà pourvu de deux établissements renommés qui s’inspirent du concept du traditionnel hôtel-centre balnéaire, le groupe des sport hotels resorts & spa vient d’inaugurer son dernier petit bijou. petit ? pas tout à fait. le sport hotel hermitage, avec son immense sport wellness mountain & spa, est le premier luxueux 5 étoiles au pied des pistes. chambres et suites élégantes, toutes avec balcons, magnifiques vues sur la montagne. À partir de 130 euros. sport hotel hermitage. tél. : 376 870 671. le sport hotel et le sport hotel village, chalets de bois confortables, revêtent le charme d’hôtels d’altitude alliant le confort au fonctionnel. standing et ambiance chaleureuse, vue imprenable sur les pyrénées, chambres avec jacuzzi. le village dispose d’une ambiance plus familiale, avec grandes chambres pouvant accueillir quatre personnes et un miniclub. À partir de 80 euros. sport hotel (tél. : 376 870 600). sport hotel village (tél. : 376 870 500). ctra. general, soldeu. http://sport-hotel-hermitage-and-spa.andorramania.com anyos park mountain & wellness resort un complexe élégant étagé sur la montagne incluant un hôtel, des appartements, un centre sportif (piscine, tennis, fitness, squash, gymnase), un spa haut de gamme et un centre de soins agréé carita paris. la massana, andorra. tél. : 376 737 173. lisbonne, charme et créativité  pas encore assaillie par les masses touristiques, lisbonne est devenue en quelques années la destination rêvée des branchés. la raison de ce succès parallèle ? une avant-garde artistique pointue qui laisse libre cours à ses envies et étend son influence sur toute la ville. la meilleure façon d’en profiter est de se laisser porter par cette fougue créative. flâner dans les galeries d’art qui se multiplient dans le quartier ultra-tendance du bairro alto ; découvrir des créateurs de mode et des designers qui feront bientôt parler d’eux dans le monde entier; danser jusqu’au petit matin dans un ancien entrepôt maritime reconverti en club high-tech et regarder le soleil se lever sur le tage… Ça vous tente ? alors, suivez le guide ! les petites pensions de famille tendent à disparaître tandis que les complexes hôteliers sortent de terre à grande vitesse. au milieu de ce chamboulement, quelques valeurs sûres misent sur le duo gagnant du charme et du style. bairro alto hotel le nouvel hôtel en vogue. la décoration mélange les styles art déco et contemporain et le personnel est aux petits soins pour vous offrir un séjour très agréable dans des chambres cosy, mais somme toute assez banales pour leur prix. À défaut d’y dormir, venez boire un verre au flores, le bar où il faut être vu en ce moment à lisbonne. À partir de 300 € la chambre. 2, praça luís de camões, 2. tél. : 00 351 213 408 288. www.bairroaltohotel.com farol design hotel pour profiter de la mer, choisissez de séjourner à cascais, dans l’hôtel le plus design de la côte. À seulement une demi-heure du centre de lisbonne, cet impressionnant cube de verre propose des chambres décorées par des grands noms du stylisme portugais. la plus spectaculaire est sans doute celle de miguel vieira : d’un blanc immaculé, très 2001 : l’odyssée de l’espace. l’adresse idéale pour jouer les happy few le temps d’un week-end… entre 185 et 365 € la chambre, jusqu’à 460 € la suite. av. rei humberto ii de itália, 7, 2750 cascais. tél. : 00 351 214 823 490. www.cascais.org as janelas verdes pour un séjour intime, rien ne vaut ce petit hôtel logé dans une demeure du xviiie siècle. partout où le regard se pose, des objets chargés d’histoire donnent l’impression d’être accueilli chez des amis. les chambres ont elles aussi le charme cosy d’une autre époque. n’oubliez pas de profiter du patio le temps d’un petit déjeuner et d’admirer l’impressionnante vue sur lisbonne depuis la bibliothèque. entre 177 et 375 € la chambre. av. janelas verdes, 47. tél. : 00 351 213 968 143. www.heritage.pt/fr ninho das Águias une vraie pension familiale nichée au pied du château de são jorge. préférez les chambres avec douches situées tout en haut – on y accède par un impressionnant escalier en colimaçon – qui offrent une vue splendide sur toute la ville. les seize chambres sont simplement décorées, mais l’ambiance chaleureuse donne envie de s’attarder dans ce petit « nid d’aigle ». 50 € la chambre avec bain ou douche. costa do castelo, 74. tél. : 00 351 218 854 070. mélange de cuisine atlantique et paysanne, la gastronomie portugaise recèle des trésors de saveurs comme la coriandre qui se marie ici à toutes les sauces, le cochon noir fondant ou encore les pâtisseries aux œufs, petits péchés hérités des moines ! eleven le restaurant des gourmets à la page ! surplombant le parc eduardo-vii, il offre une vue splendide sur lisbonne. on y dîne dans une atmosphère feutrée, entouré des sculptures de l’artiste joana vasconcelos. joachim koerper a fait ses classes en france, à l’ambroisie et chez guy savoy. il propose une cuisine épurée qui suit les saisons et fait voler en éclats toutes les idées reçues sur la cuisine portugaise. environ 100 € à la carte. rua marquês de fronteira, jardim amália rodrigues. tél. : 00 351 213 862 211. www.restauranteleven.com bica do sapato ici, hommes politiques et célébrités dînent dans un décor mêlant années 70 et design contemporain. john malkovich est d’ailleurs l’un des actionnaires de ce haut lieu de la branchitude. la terrasse, qui donne directement sur les anciens docks, est un must au coucher du soleil. on y déguste des plats traditionnels portugais revisités : moins gras et plus proches des produits originels. À moins que l’on ne préfère se lover sur la mezzanine pour croquer des sushis préparés sous nos yeux. environ 50 € à la carte. av. infante d. henrique, armazém b, cais da pedra. tél. : 00 351 218 810 320. www.bicadosapato.com kais une fontaine intérieure pour vous accueillir, des ventilateurs géants au plafond, des bougies partout : un vrai décor de film ! le dépaysement est assuré dans ce restaurant situé dans une ancienne gare routière et les lisboètes s’y pressent pour dîner d’une cuisine internationale où le poisson a la part belle … et aussi pour se montrer ! environ 40 € à la carte. cais da viscondessa, rua da cintura. tél. : 00 351 213 932 930. www.kais-k.com mélange de cuisine atlantique et paysanne, la gastronomie portugaise recèle des trésors de saveurs comme la coriandre qui se marie ici à toutes les sauces, le cochon noir fondant ou encore les pâtisseries aux œufs, petits péchés hérités des moines ! eleven le restaurant des gourmets à la page ! surplombant le parc eduardo-vii, il offre une vue splendide sur lisbonne. on y dîne dans une atmosphère feutrée, entouré des sculptures de l’artiste joana vasconcelos. joachim koerper a fait ses classes en france, à l’ambroisie et chez guy savoy. il propose une cuisine épurée qui suit les saisons et fait voler en éclats toutes les idées reçues sur la cuisine portugaise. environ 100 € à la carte. rua marquês de fronteira, jardim amália rodrigues. tél. : 00 351 213 862 211. www.restauranteleven.com bica do sapato ici, hommes politiques et célébrités dînent dans un décor mêlant années 70 et design contemporain. john malkovich est d’ailleurs l’un des actionnaires de ce haut lieu de la branchitude. la terrasse, qui donne directement sur les anciens docks, est un must au coucher du soleil. on y déguste des plats traditionnels portugais revisités : moins gras et plus proches des produits originels. À moins que l’on ne préfère se lover sur la mezzanine pour croquer des sushis préparés sous nos yeux. environ 50 € à la carte. av. infante d. henrique, armazém b, cais da pedra. tél. : 00 351 218 810 320. www.bicadosapato.com kais une fontaine intérieure pour vous accueillir, des ventilateurs géants au plafond, des bougies partout : un vrai décor de film ! le dépaysement est assuré dans ce restaurant situé dans une ancienne gare routière et les lisboètes s’y pressent pour dîner d’une cuisine internationale où le poisson a la part belle … et aussi pour se montrer ! environ 40 € à la carte. cais da viscondessa, rua da cintura. tél. : 00 351 213 932 930. www.kais-k.com istambul, nouvelle destination design  depuis cinq ans, le visage d’istanbul change à toute allure. À côté des chefs-d’œuvre parfois millénaires qui symbolisent cette ville et l’héritage de son passé byzantin, chrétien et ottoman, ne cessent d’éclore de nouveaux lieux à la décoration ultra-pointue. l’ouverture, en 2004, du premier musée d’art contemporain de la ville et le lancement, en 2005, d’une foire internationale du design témoignent de cet engouement. l’embellie de l’économie turque, une relative accalmie politique et l’essort d’internet expliquent en partie cette dynamique. pour aziz sariyer, fondateur de la firme derin et figure de proue du design stanbouliote, un accord avec la communauté européenne pour lutter contre la contrefaçon et protéger les droits d’auteur a également eu un fort impact. « les turcs ont peu à peu réalisé que pour avoir des sociétés prospères, ils devaient créer des marques avec des identités fortes », renchérit seyhan Özdemir, cofondatrice du studio autoban. d’après elle, la ville bénéficie aussi du regain d’intérêt de la part des occidentaux, qui régulièrement se passionnent pour de nouveaux endroits, comme l’inde ou la chine, et en ce moment redécouvrent istanbul. À côté des palaces tout en stuc et dorures et des auberges bon marché mais un peu décaties, on trouve à istanbul toute une nouvelle vague d’hôtels stylés, grand luxe ou à prix doux. a’jia. première véritable boutique-hôtel d’istanbul, a’jia conjugue le charme d’un manoir ottoman et d’une décoration minimaliste dans des tons beiges et blancs. situé au bord de l’eau, il offre des vues imprenables sur le bosphore. son relatif éloignement du centre-ville est compensé par un service de bateaux-navettes. À partir de 250 €. ahmet rasim paça yalisi, Çubuklu caddesi 27, kanlica. tél. : + 90 216 413 93 00. www.ajiahotel.com sumahan on the water. cet hôtel d’un grand raffinement est lui aussi installé au bord du bosphore, dans une ancienne fabrique de raki ! tons feutrés, architecture contemporaine façon loft, notes maritimes et vues enivrantes, c’est sans doute l’adresse la plus stylée de la ville. service de navettes également. À partir de 200 €. kuleli caddesi 51, Çengelköy. tél. : + 90 216 422 80 00. www.sumahan.com lush hip hotel. dans un immeuble centenaire, cet hôtel est situé en plein cœur de la ville. les chambres sont ravissantes, chacune avec un style propre : ottoman, baroque, scandinave, art nouveau… et pour se réoxygéner après une virée au grand bazar, on profite de la végétation luxuriante de l’espace bar. À partir de 185 €. siraselviler caddesi 12, taksim. tél. : + 90 212 243 95 95. www.lushhiphotel.com nomade hotel. dans le vieux quartier d’istanbul, l’hôtel nomade, tout juste rénové, offre à prix doux de petites chambres joliment décorées par thèmes chromatiques. il dispose aussi d’une belle terrasse où flâner en contemplant la magique basilique sainte-sophie. À partir de 85 € la chambre double. divanyolu caddesi, ticarethane sokak 15, sultanahmet. tél. : + 90 212 513 81 72. www.hotelnomade.com pour dîner à istanbul, un choix s’impose : design dernier cri et cuisine internationale, ou restaurants traditionnels de kebabs ou de poissons, avec pour seul décor la beauté de la cité toute nue. feriye lokantasi. un restaurant de haute cuisine ottomane au pied d’un palais reconverti en centre d’art au bord du bosphore. une vue à 1 million de dollars sur la mosquée d’ortaköy et le pont qui la surplombe. tous les ingrédients sont réunis pour une soirée digne des mille et une nuits. préférez les plats de viande, et pour les courageux, tentez le pudding au poulet en dessert. Çirağan caddesi 40, ortaköy. tél. : + 90 212 227 22 16. www.feriye.com changa. ouvert en 1999, changa a inauguré une vague de restaurants stanbouliotes mêlant fusion food et décoration d’avant-garde. dans un bâtiment art nouveau, le restaurant s’étale sur plusieurs étages, combinant détails postindustriels et mobilier eames ou bertoia. changa compte depuis peu une seconde adresse dans le musée sabanci, au bord du bosphore, dans un espace conçu par autoban et jugé meilleur nouveau restaurant 2006 par le magazine wallpaper. siraselviler caddesi 47, taksim. tél. : + 90 212 249 13 48. www.changa-istanbul.com develi. une kebab house prisée des stanbouliotes qui viennent entre amis ou en famille se régaler de mezze et de pain soufflé avant d’attaquer de gigantesques plats de kebabs (boulettes de viande épicée) au bœuf, ou d’adana (rouleaux d’agneau haché et mariné, parfois parfumé à la pistache ou à la noisette). ces kebab houses sont nombreuses dans istanbul, mais celle de la marina de fenerbahçe, sur la rive asiatique, offre une douce brise iodée en sus d’un délicieux dîner. balikpazari, gümüsyüzük sokak 7, samatya. tél. : + 90 212 529 08 33. en haut des buildings, au bord de l’eau ou dans les jardins, les bars en vogue d’istanbul jouissent de cadres de rêve au design léché. 360. dans une maison de métal et de verre perchée sur le toit d’un immeuble historique, ce bar-restaurant jouit d’une vue à couper le souffle sur la corne d’or. la déco et le mobilier futuristes sont signés derin. on s’y rend de préférence au coucher du soleil ou à partir de minuit, quand les meilleurs dj de la ville se pressent aux platines, pour déguster d’étourdissants cocktails. misir apartmani, istiklal caddesi 311/32, beyoğlu. tél. : + 90 212 244 81 92. leb-i derya. autre aller simple pour le septième ciel : ce bar-restaurant en étage est chéri de la jeunesse dorée locale ; l’été, pour sa terrasse avec un point de vue incroyable sur la ville, et l’hiver, pour son salon cosy où l’on peut dîner ou juste siroter une boisson euphorisante. kumbaraci yokuşu 115, beyoğlu. tél. : + 90 212 293 49 89. www.lebiderya.com cezayir. prisé des artistes et des intellectuels du quartier, cezayir est un café-bar pour toutes les heures de la journée : flânerie matinales en lisant le journal, dîner grand style dans le salon turquoise aux chandeliers en cristal, ou flirt nocturne autour du bar en zinc du patio, sur fond de rythmes chaloupés. hayriye caddesi 12, galatasaray, beyoğlu. tél. : + 90 212 245 99 80. www.cezayir-istanbul.com sources madame le figaro « c’est l’anniversaire de votre chéri et vous êtes en panne d’idée cadeau? offrez lui un baptême en lamborghini gallardo! quelques résultats de sondages qui en disent long sur nous, les nanas! » actions  flux rss des commentaires  trackback informations date : 13 septembre 2007 catégories : trips laisser un commentaire nom (requis) e-mail (ne sera pas affiché) (requis) site web vous pouvez utiliser ces balises html : <a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <code> <em> <i> <strike> <strong> catégories beauté cosmétique fashion food gadget non classé sites web tech trips publicité commentaires récents girl dans kenzoki, ou comment tranformer l'eau de son bain en laitcaro dans kenzoki, ou comment tranformer l'eau de son bain en laitlucoenne dans avec stardoll.com, je joue à habiller ma poupée-star virtuellez dans attention... nos rouges à lèvres contiennent du plomb, et le plomb est cancérigène...yorb dans penelope et monica cruz pour mango   octobre 2007 l ma me j v s d « sept     1234567 891011121314 15161718192021 22232425262728 293031   buzz & compteurs

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