{c a n d y} ~ d a z e
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candy-daze
j'aime: le printemps pour me rouler dans l'herbe et prendre des photos de ciels bleus legerement nuageux, quand le ciel est menacant, jouer a animal crossing calee dans mon lit, acheter plein de trucs trop mign et rentrer chez moi delestee de quelques euros mais heureuse, feuilleter mes carnets de voyage, le clic que fait mon poudrier quand je le ferme, recevoir les jolies lettres de ma correspondante, manger du surimi a 3h du mat
j'aime pas: avoir une idee et ne pas reussir a la retranscrire en dessin, la rebellion a deux balles genre la-vie-n-apprends-rien je-ne-mange-pas-de-ce-pain-la, quand photoshop plante apres des heures de boulot non sauvegarde, toucher l"éponge humide pour nettoyer la table (beurk!), les gens condescendants qui ont tout vu tout vecu, l'eau, les insectes atroces (c'est a dire tous a part les coccinelles), les transports en commun -.-'
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29.5.07
dusting off the roman dollar, searching for some work on the side
mood: exhaustedlistenning to: the kings of convenience "i'd rather dance with you"labiatch est trop forte, je lis un extrait d'un mail à haute voix "elle veut que son fils soit dans une chambre single" j ai du faire une pause entre "chambre" et "single" parce qu'elle dit l'air étonné "il s'appelle single son fils? c'est bizarre quand même" ah la la :p fou rire dans le bureau.toujours dans le même esprit, on partait s'acheter à du chocolat à liddl quand...moi "genial avant manger de tomber sur un oiseau ecrabouillé au sol -.-'"labiatch: "ah je croyais que c'était une banane"aucun rapport!!!aujourd'hui, journée interminable, vers 12h on commence à se jeter des regards lourds de sous entendus (genre "si je mange pas dans les 2min je ne reponds plus de rien")...malheureusemet le patron est lancé et ne semble pas ressentir les tourments de la faim...je profite de moments d'inattention pour laisser des commentaires désésperés sur da, criant mon désarroi sur tous les toits, ca sert à rien mais ça fait plaisir.s'accrochant à la croyance (éronnée) qu'il va partir en rdv en debut d'après-midi, on resiste, stoiques..sauf que le debut d'apres midi pour lui, c'est 15h -.-'bref, on a survecu, mais on sait pas comment.enfin, demain excursion dans le var, pour des rendez vous, des reunions, des signatures de documents, des distributions d'affiches et de flys, des mise en place de banderoles, bref ca va être fun :pps: s'il vous plait, 13fm: achetez des chansons!
ecrit par candy-daze @ 21:11 :: (4) commentaires
25.5.07
and so i fall into the open, just singing out your name
mood: -listenning to: arthur h & m "est ce que tu aimes"y a des trucs super bizarres quand même dans la vie, je pense notamment à la journée de jeudi.au début de la matinée, tout est normal, on travaille toutes les 2 dans le bureau, le patron s'étant absenté pour une partie de la journée.l'electricité se coupe, bon jusque là rien de très étrange, ca arrive.ca commence à devenir suspect quand on entend quelqu'un gueuler le nom du patron à la cantonnade (je precise que le bureau se situe dans une pièce qui surplombe une salle de réception tout le temps déserte).le temps de mettre mes chaussures (y a pas de mal à se mettre à l'aise quand le patron est pas là , hein!) je descend pour appercevoir un rabin, sorti de nul part et tout paniqué de surcroit-.-'labiatch prends nos telephones pour s'en servir de lampes torches, et c'est l'excursion destination la-boite-à -fusibles.reunion au sommet de 2sc pour trouver une solution, quand d'un seul coup l'alarme incendie se declenche (on se trouvait devant le haut parleur -.-'), le rabin nous dit "ah c'est pas moi!" (sachant qu'il était seul devant le compteur, le nombre de suspects est plutot limité) et file à la vitesse de la lumière vers une porte dérobée, fermant à clef derriere lui et nous laissant comme deux connes devant le compteur, à le regarder intensement pour voir si ca arrete l'alarme (la reponse est non).on décide de pas attendre les flics et de prendre une pause déjeuner plus tot que prévu (courage fuyons!).nouvelle habitude de stage: la sieste sur la moquette.hier, pour des raisons de chaleur etouffante et d'absence totale de renouvellement d'air dans le bureau nous plantons nos pcs sur une grande table au beau milieu de la table de reception, et là c'est le drame, les gens defilent comme dans un moulin, mais sans aucune raison."oui j'ai vu de la lumière, me suis dit tiens si je rentrais comme ça, hop hop hop"un gars avec son caddy(!) va voir la cuisine pour se faire cuire un steak.des jeunes reflechissant à une eventuelle soirée étudiante s'installent sur la scene "ouais et là le projo bleu! wouha!! et le carré vip dans ce coin! trop bien! j'suis sur que pierre alphonse sera bourré comme d'hab! ah ah! mdr!"labiatch se demande "tu crois que c'est un truc spécial, dès que tu loues la salle, tu l'habites pendant une semaine, t'ammenes tes potes, ta famille, venez les gars je creche dans une boite, c'est trop bien?"ca se discute.
ecrit par candy-daze @ 23:06 :: (1) commentaires
23.5.07
sunday afternoon can't last forever, wish i could take you home.
mood: tiredlistenning to : u2 "stuck in a moment"un jour de plus passé dans le monde merveilleux de la com.ce qui est bien dans la com, c'est que tout le monde est pote, on s'appelle par nos prénoms, on se tutoie facile, c'est amical, convivial, presque familial.on se parle pour la première fois? peut être la dernière? c'est pas grave, l'amitié c'est rapide et facile.tiens bene à appeler pour toi, faut que tu mailes ça à fabrice, ok pas de problème. mon premier appel-ami m'a fait un peu peur, "allo anaïs?" ...là j'ai un flash "merde c'est quelqu'un que je connais" puis éclair de lucidité "comment il a eu le tel de mon patron?"ca fait bizarre le premier appel-ami, et puis finalement c'est cool, on se retrouve vec des contacts amicaux un peu partout, on prends confiance, on devient un peu arrogant, on connait du monde, nous.mais des fois les appels-amis sont des appels-gros lourds, et là c'est tout de suite moins fun..exemple1:"bonjour, anaïs f. à l'appareil, je suis chargée de com pour m.prod., je vous appelle au sujet d'un festival de jazz...euh..." pourquoi mon interlocutrice repete tout ce que je dis? visiblement le haut parleur c'est trop cher (l'éducation aussi) et elle repete ce que je lui dis à sa superieure... d'un seul coup, une voix me dit "oui?"....arghhh...je recommence mon speech, elle me dit qu'elle va prendre un stylo pour noter mon numero et hop un gros "biiiiip"...chercher un stylo ou me raccrocher au nez, elle hesitait visiblement -.-' ce qui ne m'a pas empeché de la rappeler et de lui donner mon numero de gré ou de force lolexemple2:"vous nous avez deja appelé, non?" moi: "euh non, je suis pas au courant"m.x: "je suis referencé dans 7 listings, c'est la 2ème fois que vous m'appelez, il en reste 5, je suis un eternel optimiste doublé d'un grand reveur, je me dis que vous aller peut être rappeler 5 fois" s'en suit une serie de "eh éh éh éh éh" super bizarre, je commence à partir dans un fou rire (le fait que la biatch s'écroule sur son bureau n'arrange rien à l'affaire).moi: "euh tout est possible" pourquoi? pourquoi ce "tout est possible", je ne sais toujours pas...le cerveau réagit mal aux ricanements psychotiques faut croire. m.x: "ca me derange pas que vous me rappeliez, que je ré entende votre charmante voix" moi: "ah boooon?" j'essaie de me contenir pour pas exploser de rire, ce qui provoque l'hilarité de la biatch -.-'m.x: "et votre charmant rire aussi" moi essayant de ne pas laisser tomber le telephone malgré mon rire: "hum hum merci, bref" je sais pas comment mais le vrai but de mon coup de fil me revient "et pour les encarts presse?" m.x: "si j'avais le budget j'en prendrai, pour vous faire plaisir" moi (genre ca va me faire plaisir -.-' il pourrait racheter la boite, m'en foutrait un peu, bref): "ah bon, ben desolée pour le derangement" m.x: "y a pas de derangement, rappelez quand vous voulez, n'hesitez pas ^^"moi: "euh au revoir, bonne soirée"puis fou rire prolongé, pendant un bon quart d'heure!
ecrit par candy-daze @ 20:00 :: (0) commentaires
21.5.07
fading, oh so quiet, but constant 'til it passed
mood: optimisticlistenning to : robert post "got none"premier jour de stage, premier jour dans le vrai monde de la com vec la biatch^^déjà , on arrive,de vraies championnes, on trouve pas la bonne entrée -.-'ca tombe bien, on adore errer comme des âmes en peine dans la rue.j'essaie de joindre notre patron, mais visiblement j'ai un faux numéro (déduction faite après que mon interlocuteur ai repondu à mon "on vous attends devant la porte principale" par un "je suis chinois", logique, dans le cas ou quelqu'un se trompe de numéro, toujours préciser sa nationalité, ca peut aider).bref après 3/4 h d'attente, c'est parti mon darty, on s'installe sur notre bureau, notre patron nous fait un topo sur notre boulot pour les 6 semaines à venir: s'occuper de la com et d'une partie de l'organisation d'un festival de jazz, à tourrettes, vec en vedette keith b. brown et dee dee bridgewater (!), et si on a le temps, donner une nouvelle identité à sa salle de spectacle ^^bon ca nous met pas la pression tout ca hein :p travailler avec des artistes de rayonnement international, ca va, on gère, la routine en quelque sorte (ou pas).au début je dois avouer que j'étais pas franchement motivée pour appeler des myriades de gens que je ne connais pas, pour me faire passer pour une personne qui a un travail et des responsabilités, qui gère les relations humaines, parce que bon, après tout, le telephone quel moyen merveilleux de communication, c'est super pratique on appelle on se presente on recolte des adresses mails, hop hop hop en 2 min l'affaire est rondement menée, non franchement c'est pas la mer à boire, faut vraiment être bizarre pour pas aprecier ce gain de temps et d'argent... mais finalement ca va (faut dire aussi que j'avais pas vraiment le choix, labiatch a commencé à appeler des milliers de radios et moi je la regardait avec des yeux comme des soucoupes en me demandant quoi faire pour avoir l'air autant occupée, la réponse est: appeler aussi -.-')c'est presque drole d'appeler des inconnus des fois ^^ enfin surtout quand labiatch se faire draguer en direct live :p ou quand on se prends des fous rires mal maitrisés alors qu'on a europe 2 à l'autre bout du fil.la journée se passe super bien au final, on bosse comme des pros, c'est très gratifiant, on y croirait presque à cette fonction de chargé de com pour une grande boite de production...mais au moment de partir, c'est le drame...dernières à quitter les lieux, nous sommes chargées de fermer les portes derrière nous...sauf que la porte en question pèse 2tonnes (à vu de nez) et qu'un esprit malade a concu un système étrange dans le seul but de nous empecher de fermer cette satané porte / de nous peter les doigts dedans / de nous ridiculiser en demandant de l'aide...et oui on se décide à implorer n'importe quel passant qui passe par là à venir à notre rescousse.on appercoit un espece de surfeur, plutot banal, on l'envisage mais finalement on se décide pour les 2 gars qui bossent dans l'imprimerie juste à côté...c'est vrai, quand on sait qu'on va être ridicule à un degré assez élévé, toujours s'arranger pour que les gars jeunes et beaux (qu'on verra tous les jours qui plus est) en soient témoins, parce que le surfeur un peu moche qui passait au hasard, ca aurait pas été drole -.-'un des deux samaritains s'approche de la porte, la regarde, et en un coup d'oeil apprecie son fonctionnement, ouvre le 2ème battant, et referme le tout, comme un volet, en 2sc...le ridicule ne tue pas, mais il fait très mal comme quelqu'un de très avisé l'a un jour dit...
ecrit par candy-daze @ 19:51 :: (1) commentaires
11.5.07
on devrait pouvoir en rire, on devrait pouvoir se taire
mood: -listenning to: dover "californication"escapade photos avec ophé, premiere étape on va manger en terrasse, en passant vers la plage, des veliplanchistes se déshabillent integralement, normal.une fois arrivées au restaurant en question, le serveur fétiche de mon acolyte est là .dans les films le serveur mignon et timide lance des oeillades plus ou moins furtives en direction de la table ou les filles gloussent, d'ailleurs elles ne gloussent pas vraiment, elles sourient d'un air complice et mutin.le serveur renverse son plateau tellement il lance ces oeillades, là les filles se penchent en lui demandant si tout va bien, il repond quelque chose de vague et retourne en cuisine d'un pas précipité, il prendra sans doute son courage à deux mains pour noter son numéro de telephone sur la note, c'est toujours comme ca dans les films.mais dans la vraie vie, on glousse comme des collegiennes, on se donne des noms de code, le serveur sera le "plat du jour", quoi de plus anondin dans un restaurant après tout?ensuite nous nous dirigeons vers les goudes (objectif officieux: repérage pour le suicide collectif de la secte), même là bas on peut pas prendre de photos tranquilles...faut toujours une voiture de taupes-modeles qui se surestiment, toujours prêts à vous adresser la parole, a lancer un "oh mademoiselle!" ou un "t'es charmante"... ils s'imaginent quoi? que le premier blaireau qui dit à une fille qu'elle est charmante, la fille tombe sous le charme, obligé?c'est sûr c'est tellement original, le gars il commence par "t'es charmante", il se dit sans doute "c'est bon, là je marque un point, j'innove avec une phrase nouvelle, je suis sûr qu'elle l'a jamais entendu auparavant, ca va lui faire super plaisir, pas du tout lui donner envie de me tabasser, mais plutot l'inverse symetrique de tabasser, oui c'est ça, là , elle va me prendre dans ses bras desuite".finalement on file vers calellongue, tout est calme, on entends juste le bruit du vent.on grimpe dans la caillasse pour avoir une vue imprenable sur la mer et le petit port des goudes.pitié que personne ne vienne me dire que c'est possible de marcher un minimun vite avec des spartiates, je suis désolée mais faut pas pousser pepere dans les orties non plus, le cuir tressé, on a beau le nouer, faire des doubles noeuds, ca tient pas, c'est fatal.alors quand dans 300, je vois les gars bondirent comme des cabris vec leurs spartiates aux pieds, sans faire de pause "désolé mais je dois nouer ma chaussure avant de taper du vilain", je me dis que c'est la magie du cinéma.une fois en haut, le vent est assourdissant, étourdissant, on a l'impression que si on prenait quelques metres d'élan on pourrait sans probleme planer au dessus de la mer.le vent souffle tellement fort que je m'accroche desesperement à mon appareil photo, ce qui est débile parce que franchement je vois pas ce qu'il pourrait faire pour moi si une bourrasque me destabilisait.bref.
ecrit par candy-daze @ 10:36 :: (2) commentaires
4.5.07
i want to want you, i need to need you
mood: euphoriclistenning to: cali "pour jane"journée riche en rebondissement mais vu justement leurs absence ces derniers temps je vais pas m'en plaindre! tout commence ce matin, où, la tête dans le paté je me precipite, echevelée, pour prendre mon bus... 20min plus tard, lapinou m'appelle (on devait bosser au lycée) "euh t'es où parce que moi j'attends le bus depuis 30 ans", idem, j'adore la rtm.finalement, les filles passent devant moi en voiture, je grimpe, elles me demandent:"t'as pris tes protections???""hein?""casque? jambieres?" "hein??" "c'est amina qui conduit ""ahh!!!"(cette fille est un mythe!)on arrive tant bien que mal, un bout de mur reste accroché sur le parchoc d'amina -.-'bon quand je dis "on devait bosser vec lapinou" je veux dire on devait rentrer un maximun de formules dans la calculatrice -.-' ce qu'on n'a pas fait d'ailleurs...une étude de cas de 5h nous attends, on s'installe au fond de la salle pour être tranquille, dans la joie et l'allegresse.distribution des sujets, pas besoin des pompes qu'on a pas faites, la partie avec des calculs tant redoutés a disparu, c'est la fête, la foule est en liesse, on crie, on chante (bon, j'en rajoute peut être un peu).asisse à coté de la biatch, on bavarde tranquilou, je fais des dessins obscenes sur son brouillon, me moque de son ventre (elle fait des bruits plus que louches, on jurerait qu'elle a bouffé une boîte-à -meuh), pas trop l'ambiance partiels donc.en plein milieu, lapinou se lève pour parler au prof, se retourne vers moi la mine réjouie et l'oeil pétillant en hurlant quelque chose silencieusement, je me precipite sur mon portable pour lui demander "qué passa???" quand je recois: "on a eu 18 au syndrome de stendhal ouhaa!!!", je communique l'info à vic, on se congratule mutuellement, et je garde un sourire béat jusqu'à la fin de l'épreuve.on prends notre bus habituel et c'est là que tout dérape, celui-ci a pas fait 10m qu'il cale, une fois, deux fois, trois fois, on se demande s'il va repartir un jour.la réponse est oui (sinon je serai encore sur le chemin pour rentrer chez moi) mais en fait il va caler toutes les 2min pour redemarrer pendant 5min.on fait nos prières quand il s'agit de descendre jusqu'à perrier, bien accrochés dans les virages.mais on arrive en un seul morceau pour prendre le métro, où il y a des grosses flaques d'eau partout, et oui faut croire que l'isolation n'est pas top -.-' il pleut 2h et les agents de la rtm mettent des sauts pour recolter l'eau de pluie -.-' seigneur.le garçon gentil et suicidaire pour de faux laisse des messages vocaux hilarants, déjà ils durent 20min, mais ce sont aussi de veritables petits monologues, vec des questions "pour faire style" de temps en temps.j'ai adoré la conclusion "je te fais de gros gros bisous...bon peut être pas de "gros gros bisous", enfin j'ai l'habitude de dire ça à la fin des mes messages, bon disons que je te fais une petite bise".on se moque (gentiment) du garçon glauque et comique et de moi ici.
ecrit par candy-daze @ 22:22 :: (0) commentaires
3.5.07
cause i've been acting like sour milk fell on the floor
mood: ecstaticlistenning to: peter, bjorn & john "young folks"jamais 2 sans 3 ...l'adage se verifie une fois de plus, re-re-sortie orientation avec le garçon glauque mais tellement gentil, bon cette fois ci le temps qu'on se pointe il était 17h, et comme tout un chacun le sait, en ce qui concerne l'administration (c'est encore + vrai s'il s'agit de celle de la fac) à 16h45 tout le monde a rangé ses clics et ses clacs et regarde avec impatience et avidité sa montre, son portable, son reveil matin, bref ^^tout ca pour dire qu'on s'est pointé en ville pour rien, sous la pluie qui plus est (j'ai pris des coups de parapluie involontaires incessants, n'est ce pas mr gentil mais maladroit :p)enfin pas vraiment pour rien puisqu'on a pu montrer une fois de plus la localisation de l'alcazar à ophélie (et se moquer un peu d'elle aussi parce qu'elle a un parapluie magique qui bloque les sons)voilà une sortie en ville de 1/2h super utile lolmon dieu j'aime les oraux, j'aime l'anglais, j'aime les oraux d'anglais ^^encore une bonne nouvelle, le barbier de siberie passe soir sur arte, bon ok je l'ai vu plein de fois déjà mais on s'en lasse pas!
ecrit par candy-daze @ 18:35 :: (0) commentaires
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